Une nouvelle aire souffle sur la commercialisation : le e-commerce, c’est quoi ?
C’est un terme qui désigne la commercialisation online, la vente et l’achat sur le web.
Est-ce que cela remplace les magasins physiques ?
C’est ce que nous allons voir ici, l’avenir du commerce que l’on a toujours connu est-il menacé ?
Voyons les avantages et inconvénients de ce que représente le nouvel air des sites e-commerce.
Autrefois, pas le choix, direction « Page jaunes » dans le gros bouquin pour trouver le magasin répertorié dans la catégorie qui nous intéresse, un long processus avant de trouver une bonne adresse. Faut-il encore trouver ce qu’on cherche sur place ou bien continuer les recherches et vive le bouche à oreilles !
Aujourd’hui, rendez-vous sur le web !
Rien de plus simple, depuis son PC ou son smartphone, on trouve rapidement et facilement ce qu’on cherche avec les mots clés, on a alors une panoplie de site, plus qu’à comparer ou bien lancer une comparaison sur les nombreux sites comparateurs dans le domaine du voyage surtout. Les renseignements sont souvent bien plus riches et détaillé qu’en magasin, en d’autres termes, on ne se fatigue plus, on compare chaque marque, on a les prix les plus bas, des avis, des informations détaillées, on se fait livrer sans avoir eu à bouger plus que son doigt et voilà le commerce d’aujourd’hui !
Evidement le changement c’est pour aller de l’avant, viser une vie plus facile, plus agréable et où le commerce se fructifie toujours plus. Alors nous voyons notre vie sans cesse améliorer par des technologies censées nous rendre la vie plus simple, trottinette électrique, paiement à distance, application pour commander à manger ou faire ses courses à distance, tout se fait via quelque clic sur notre smartphone.
Plus simple, c’est sûr, mais est ce que nous y sommes vraiment gagnant ?
En effet si la trottinette électrique facilite nos déplacements en matière de vitesse, c’est aussi une façon de moins bouger ce qui ne va pas en faveur pour notre santé (et encombrante qui plus est).
Pour l’achat en ligne, c’est pareil, si l’on apprécie de ne plus avoir à se déplacer, on ne peut plus apprécier en revanche l’approche physique face au produit, ni l’échange humain ou le simple fait de faire une course.
Si le web est une excellente façon de faire ses achats de par ce que l’on a évoqué plus tôt, on peut aussi rester sans réponse, avec plus de doute qu’autre chose. En effet par simple manque de photos (7 en moyenne pour satisfaire), d’information, d’avis client, de détail, de conseil d’utilisation ou tout simplement les frais de livraison, peuvent dissuader l’achat.
Les boutiques physiques gagnent alors dans l’expérience client, ils peuvent toucher, goûter, sentir, se questionner au près d’un vendeur, c’est ainsi qu’est d’ailleurs née le showrooming, soit le principe de découvrir un produit sur place pour le commander en ligne ensuite.
De plus il n’y a pas de délai d’expédition lors de l’achat, les retours, requêtes et modifications produits sont immédiates.
Les magasins physiques ont donc bien des avantages que les boutiques en ligne n’ont pas comme la relation clientèle qui n’est pas négligeable, un traitement personnel entre vendeur et client est important, cela permet notamment de créer une confiance dans son achat et envers la marque.
Les boutiques en ligne gagnent quant à elle à ne pas coûter cher en investissement, pas de personnel, pas d’infrastructure donc moins de frais et des prix plus bas. Quant au SAV, ils permettent de prendre en compte l’avis du client et de faire un retour.
De plus une boutique en ligne à la possibilité d’étendre son business géologiquement et dans ses horaires puisque contrairement à un magasin, en ligne on est ouvert non-stop, de nuit comme de jour, avec une simple connexion internet.
Nous ne pouvons donc pas dire ce qu’est le mieux car chacun a ses avantages et ses inconvénients, ce pourquoi les magasins physiques ne sont pas voués à disparaitre mais à progresser avec les avantages que les boutiques onlines n’ont pas et inversement.
Un commerce plus efficace de par sa diversification de moyen d’achat.