• ACCUEIL
  • DIGITAL MARKETING
  • CONTACT
  • MEDIA INSTITUTE
  • NEWSLETTER
  • ACCUEIL
  • DIGITAL MARKETING
  • CONTACT
  • MEDIA INSTITUTE
  • NEWSLETTER
Pubosphere Logo
  • ACCUEIL
  • DIGITAL MARKETING
  • CONTACT
  • MEDIA INSTITUTE
  • NEWSLETTER
e-Commerce : le haut potentiel des assistants vocaux
Partager

e-Commerce : le haut potentiel des assistants vocaux

30 décembre 2018
-
Posté par RémiSch.

Les assistants vocaux vont-ils révolutionner le e-commerce ? Parviendront-ils à créer de nouveaux usages et faire briller le marketing sonore ? Cela semble être en bonne voie. Loin d’être de simples hauts parleurs, ils entendent être l’acteur le plus naturel, le plus direct et le plus simple pour distribuer le contenu des marques aux utilisateurs. D’abord lancés sur le mobile (Google Assistant, Siri…), ils sont désormais déployés sur d’autres devices comme les enceintes connectées : Amazon Echo, Google Home, HomePod, Sonos One…

Si l’écosystème tâtonne et se cherche encore, la cartographie des enceintes connectées s’étend progressivement en France, atteignant jusqu’à 1,7 millions d’utilisateurs, selon Médiamétrie. Cette tendance pointée par les observateurs s’accompagne de nouveaux usages bâtis sur l’interaction vocale. Jusqu’ici utilisés pour lancer du contenu musical, audio ou vidéo, les assistants vocaux pourront bientôt offrir des solutions commerciales beaucoup plus abouties pour inciter les utilisateurs à acheter des produits de consommation.

L’ASSISTANT VOCAL PRÉFÉRÉ AUX SITES INTERNET :

Selon une étude réalisée auprès de 5000 utilisateurs par le Digital Transformation Institute de Capgemini, les assistants vocaux sont devenus un outil privilégié pour interagir avec les marques : près d’un quart (24%) des personnes interrogées préfèreraient utiliser l’assistance vocale plutôt qu’un site Internet. Selon les projections de l’étude, ce chiffre pourrait monter à 40% dans les trois prochaines années. Mais le chiffre le plus important vient des perspectives de consommation : S’ils représentent 3% du volume total des dépenses aujourd’hui, les achats réalisés via les assistants vocaux pourraient s’élever à 18% d’ici trois ans, réduisant ainsi la part des dépenses réalisées en magasins physiques (45%) et sur les sites Web (37%).

QUELLES SOLUTIONS MARKETING POUR LES MARQUES ?

Les interfaces vocales, qui semblent avoir les bonnes grâces des utilisateurs, pourraient être de bon augure pour les marques : concrètement, elles pourraient booster les ventes des produits de consommation sur simple échange vocal. D’autant que les utilisateurs qui ont déjà pratiqué des achats via les assistants vocaux affichent un taux de satisfaction de 71%.

Mais pour démontrer tout leur potentiel en tant que déclencheurs de ventes, les assistants vocaux devront enrichir leur galerie de produits, afin de proposer le choix le plus large possible, faute de quoi leurs catalogues, trop restreints, finiraient par décourager l’audience qui commence à peine à s’engager. Pour approvisionner le portefeuille de leurs interfaces vocales et injecter de la valeur, Google, Amazon et Apple devront entamer des discussions avec d’autres acteurs issus d’autres secteurs, en vue de collaborations et partenariats. S’ils souhaitent inscrire leurs assistants vocaux dans les habitudes quotidiennes de consommation des utilisateurs, ils devront, par exemple, se pencher sur l’industrie agro-alimentaire, et tisser des partenariats avec ses principaux acteurs (Monoprix, Carrefour ou Auchan), à moins qu’ils ne préfèrent rester en circuit fermé, en ne proposant que des produits issus de leur propre galaxie. Pour rappel, Amazon, qui a racheté les supermarchés Whole Foods en 2017, n’a pas l’air décidé à partager les bénéfices tirés des interfaces vocales. Le géant du e-commerce, qui a anticipé les besoins de ce nouveau marché, semble vouloir fonctionner en circuit fermé, sans doute pour rester l’ultime propriétaire de chaque maillon de la chaîne de valeurs : Alexa distribuera d’abord (et exclusivement ?) les produits alimentaires labélisés « Amazon »…

Avez-vous apprécié cet article ?

Dites-le nous avec des cœurs !

Note globale : 0 / 5. Nombre de votes : 0

Aucune note n'a encore été attribuée 🙁

30 décembre 2018
Email
Aucun commentaire
← ARTICLE PRÉCÉDENT
Data et marketing politique : vers une segmentation de “l’offre” politique ?
ARTICLE SUIVANT →
Vous ne faîtes pas (encore) de campagnes d'influence sur Tik Tok et Twitch ? Non mais allô quoi !

Laisser un commentaire

On adore les commentaires !
Cancel Reply

Veuillez patienter...
Envoyer

Articles populaires
La publicité segmentée : comment la télévision va se servir des données personnelles des téléspectateurs
5 (3)

La publicité segmentée : comment la télévision va se servir des données personnelles des téléspectateurs

Leçon de big data par Netflix
4.8 (4)

Leçon de big data par Netflix

Le DOOH est-il un des derniers remparts de la publicité digitale face  aux GAFA?
4.7 (3)

Le DOOH est-il un des derniers remparts de la publicité digitale face aux GAFA?

Articles récents
  • Quel est l’impact du marketing Prédictif pour les Marques ?
    4 décembre 2020

    Le data marketing comme vu précédemment, permet suite à la collecte de donnés …

  • Optimiser son content marketing pour le social selling
    Faut -il booster son content marketing pour le social selling ?
    1 décembre 2020

    Qu’est-ce que le social selling ? Vue sur le social selling En marketing, …

  • Quelles sont les tendances du content marketing en 2020 ?
    14 octobre 2020

    Introduction Dans cet article, il s’agira de voir les tendances actuelles du content …

Pubosphere, blog édité par Media Institute et animé par ses étudiants en stratégie marketing & digitale © Tous droits réservés 2017-2020 - Mentions Légales - Connexion
e-Commerce : le haut potentiel des assistants vocaux | Pubosphere