Dans notre article il était question pour nous de faire un état de la communication multicanal actuelle. Avec des annonceurs de différents secteurs tels que la santé, les transports publics et le luxe. Afin de déceler quelle place occupe les médias traditionnels dans la communication globale des enseignes et savoir leur impact à l’ère du digital.
Problématique
Tout d’abord on devait répondre à ces questions :
- Communication de plus en plus digitalisée est-elle favorable à tous les secteurs et à tous les produits peu importe l’objectif et la cible ?
- Quelle place occupe encore les médias offlines dans les campagnes publicitaires des enseignes et des institutions étatiques ?
- Faut-il les délaisser au détriment des canaux digitaux ?
- A quelle problématique répond les médias offlines ?
- A quoi est-il censé être en complément des médias numérique ?
- Ont-ils le même impact en métropoles qu’en régions ?
Constat
Les médias traditionnels à l’ère du digital sont dans une phase de transformation profonde. S’ils doivent relever des défis significatifs pour s’adapter aux nouvelles réalités du marché, leur capacité à évoluer et à s’appuyer sur leur crédibilité et leurs ressources solides leur permet de conserver une place importante dans le paysage médiatique contemporain.
Grâce à notre analyse des différentes campagnes, Nous avons pu observer que, quel que soit le secteur, les entreprises ont recours aux mêmes canaux de communication à savoir les médias traditionnels et les médias digitaux.
Bien que manquant de certaines données plus confidentielles pour mieux justifier notre observation, ceci à travers les résultats chiffrés des campagnes analysées, on peut faire cette affirmation sur celles à disposition.
On peut par cette observation dire que les médias traditionnels ont toujours leur place dans le planning des annonceurs malgré la pression des médias digitaux. Ils sont encore perçus comme étant le canal des marques ou enseignes sérieuses ayant un message crédible à faire passer. Moins intrusifs et plus utiles.
Cela dit, plutôt que de délaisser les médias traditionnels au profit des médias en ligne, il serait plus judicieux de chercher un équilibre entre les deux. Comme l’ont fait ces enseignes analysées plus haut.
Les consommateurs peuvent bénéficier de la crédibilité et de la profondeur des médias traditionnels tout en profitant de l’accessibilité et de la diversité des médias en ligne.
- L’impact des médias en ligne et hors ligne diffère entre les régions et les métropoles. Par exemple la façon dont communique le gouvernement en métropole n’est pas similaire à sa communication en région.
- En région c’est beaucoup plus de communication en Télé en les PQR (presse régionale quotidienne) en raison des variations d’accès à la technologie, des préférences culturelles, et des besoins en information locale.
- En métropole, les médias en ligne tendent à avoir une plus grande influence en raison de la connectivité et de la pénétration numérique élevées.
- En région, les médias traditionnels restent essentiels pour fournir des informations locales et maintenir l’engagement communautaire.
Il est donc crucial de maintenir un équilibre entre les deux types de médias pour répondre aux besoins diversifiés des populations en milieu urbain et rural
Conclusion
Plutôt que de délaisser les médias traditionnels au profit des médias en ligne, il serait plus judicieux de chercher un équilibre entre les deux.
Les consommateurs peuvent bénéficier de la crédibilité et de la profondeur des médias traditionnels tout en profitant de l’accessibilité et de la diversité des médias en ligne. Les médias traditionnels peuvent également s’adapter et intégrer les avantages du numérique pour mieux servir leur audience.
En fin de compte, une consommation médiatique équilibrée, critique et informée, en combinant différentes sources et types de médias, permet de mieux comprendre le monde et de prendre des décisions éclairées.